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Généalogie des familles CLARET et SOLANET

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"il apparaît clairement que la masse des connaissances qu il fallait accumuler et digérer pour prétendre rendre la justice au XIème siècle en particulier, était considérable et d un emploi pour le moins délicat. Etait-ce à la portée des seigneurs justiciers responsables, avant tout des guerriers et souvent illettrés ? Il ne faut même pas y penser ; aussi, comprend-on aisément qu ils aient délégué cette charge à des spécialistes, les juges ! Ces experts deviennent donc les seconds personnages de l état dans la hiérarchie administrative sinon féodale. Ayant acquis leur savoir par l enseignement oral et la pratique venant de leurs parents, ils le transmettront de même à leur descendance ; d où ces familles de juges pour ne pas dire dynasties. Il y en aura plusieurs dans chacun des deux grands pôles urbains de la Provence, Avignon et Arles ; donc attachées à leurs comtes respectifs. Eléments d une institution très vivace au moins depuis le VIIIème siècle en Provence, étaient-elles complémentaires ? Spécialisées en certaines matières ou régions ? On ne le sait pas. Mais au XIème siècle, cette institution paraît s essouffler un peu et ne se concentre plus que sur trois familles principales d après les données des cartulaires :

- sur Avignon : la famille du juge Bérenger Ier (v.962-1002) époux de Gerberge de Nice et leurs deux fils juges aussi, Adalelme époux de Bellielde de Marseille et Aldebert dont un fils et un petit-fils serontsuccessivement évêques de Fréjus. La suite paraît s achever avec le juge Bérenger II fils d Adalelme époux de Garsende de Vence et qui deviendra vicomte d Avignon .

- la famille du juge Rainard (altéré en " Renard ") et de son fils Dodon, seigneurs de Châteaurenard et de Châteauvert. Foulques-Dodon (1030-1096) fils de Dodon, sera juge à Fréjus. C est le fils de celui-ci, le moine Bertrand, qui est présent à La Penne lors de la transaction de 1100 (cf. supra).

- sur Arles : - la famille du juge Lambert-Annon avec un seul fils juge, Lambert (v.1017) dont les enfants et petits-enfants se souderont à la descendance de Augier Ier prince de Riez par mariages. Un autre fils, Amic Ier est déjà connu comme " prince-comte de Vence " ; quant à sa s ur Garsende, elle devient l épouse du juge Bérenger II précédent. Les deux familles de magistrats complètent donc ici leur alliance."

 
Famille: Adaleme D'AVIGNON / Bilielde DE MARSEILLE (F1420)
 
2 18 juin 913 : Charte L'évêque de Vannes Bili demanda au comte Matuedoi de lui permettre de donner à Saint-Sauveur et aux moines de Redon, pour son âme, celle de ses parents et celle du comte, le tiers de Buiac, que le comte lui avait concédé. Le comte donna son accord et apporta le don à l'abbé avec l'évêque. Sources: Cartulaire de Redon, Aurelien_de_Courson

25 octobre 913 : Charte De même qu'ils avaient donné un tiers de Buiac, Bili, évêque de Vannes, et Matuedoi, comte, ont donné au monastère de Saint-Sauveur et aux moines de Redon la moitié de la plebs de Guipry, que le roi Alain et son neveu Euuen avaient donné à Sainte-Marie et à l'évêque Bili. Ils remirent leur don à l'abbé Catluiant et au doyen Jacques. Cela fut fait dans le monastère de Saint-Ugnac. Par la suite, l'évêque Bili, le comte Matuedoi et l'abbé, d'une commun accord, envoyèrent le moine Gurgnou au comte Gourmaelon, qui gouvernait alors le royaume de Bretagne, pour qu'il donne cette parrochia et la confirme de sa main. Sources: Cartulaire de Redon, Aurelien_de_Courson

La mort d' Alain le grand, suit une division politique et donc militaire qui provoque le retour des barbares, plus terrible que jamais. Seule une élite sociale peut s'exiler pour trouver refuge en pays franc mais aussi saxon, laissant le peuple en proie à la violence inouïe de l'envahisseur. Parmi ces exilés, le gendre d'Alain le Grand, Mathuedoï , comte de Poher, se réfugie avec son fils Alain à la Cour du roi saxon Athelstan.

Témoin : Athelstan le Glorieux (Anglo-Saxons), Roi d' Angleterre 895-939 
DE POHER, Mathuédoïs (I4196)
 
3 19 avril 1654 : Résidence - Paroisse de Montmelian - Arbin, F-73800, Savoie, Auvergne-Rhône-Alpes

Testament chez Me Cugnat à Vasselin le 13/4/1691

Originaire d'Arbin, près de Montmélian. 
Famille: Claude Marie CLARET / Claudaz Marie BOURJAILLAT RICHERD (F323)
 
4 4 Aout 1936 : Médaille de Bronze du travail : Trésorier de la Société de secours mutuels des auxiliaires à la recette de la Banque de France  GRANGER, Eugène Marius (I826)
 
5

112e régiment d'infanterie de ligne, 30 mai 1812-11 juin 1813. Matricule 10521

Mort à l'hôpital d'Alberthal

 
JOANNAN, Antoine (I2583)
 
6

A la vérité on sait peu de choses de Joseph. Il passe son enfance et sa jeunesse à la ferme paternelle de BRAILLE.

Fils unique à 9 ans, à la mort de sa soeur Marguerite, il est probablement l'objet de soins attentionnés de la part de son père à la ferme familiale. De fait, il est comme son père qualifié d'abord de "Laboureur". Puis on le retrouve "fermi" à BALMETTE, à environ 3 kilomètres de BRAILLE, au pied du village de MORESTEL.

BALMETTE est un lieu-dit, constitué exclusivement, déjà à l'époque, d'une ferme très imporatnte : quatre longs corps de bâtiments à plusieurs étages, granges, écuries et dépendances, une chapelle et un four à pain, délimitent unetrès vaste coruverte avec fontaine et abreuvoir, au centre de laquelle est installée la maison d'habitation. Les différents bâtiments ne datent pas tous de la même époque et l'ensemble subira nombre d'aménagements au cours des siècles. L'actuelle maison d'habitation ne date vraisemblablement que du XIXème siècle. Enfin, les constructions à caractère social entreprises récemment par la mairie de MORESTEL sur le site nuisent outrageusement à l'homogénéité de l'ensemble.

Sous l'ancien régime, la ferme de BALMETTE fait partie du domaine du château du MARTERAY (entre SERMERIEU et MORESTEL), avec celles de CHARRAY (à l'ouest de VEZERONCE) et de MARTERAY (à l'est de SERMERIEU, à côté du château). Un acteen date d1 septembre 1679 décrit un albergement (concession à charge, en Dauphiné) "par noble Jean-François de DORTAN, chevalier Seigneur de MARTERAY, CHARRAY, BALMETTE et autres places, et dame Marie du CONDRAY, dame de la MARTINIEREson épouse..." (MARTIN notaire).Au début du XVIIIème siècle, lorsque Joseph CLARET s'installe à BALMETTE, deux actes rapportent qu'il est fermier de Monsieur de GRUEL... Sans autres précisions. On sait par ailleurs que l'usage donnait aux fermiers de BALMETTE une supériorité de droit sur ceux de MARTERAY et de CHARRAY. 

CLARET, Joseph (I273)
 
7

AD f° 196

Parrain : Sr Guy Modeste Levieu, bourgeois d\'Arandon

Marraine : Delle Marie Levieu, soeur du parrain.

 
CHANTEUR, Guy Modeste (I292)
 
8

AD f° 60

Pt ses 3 fils : Joseph, Gabriel et Pierre - illetrés

 
CHANTEUR, Guy Modeste (I292)
 
9

C'est Josette qui parle de ses parents.

"Papa était le sixième et dernier garçon de la famille. Peut-être un peu le chouchou de sa mère... Il avait des affinités certaines avec Gabriel, de deux ans son aîné. Comme lui, il est taquin, gai et non conformiste".

A 21 ans, il sort de l'X, Promo 05. Il se retrouve dans le Génie à AVIGNON.

En 1921-1922, après la guerre, était-il encore militaire ? Papa est à MELUN où sa logeuse, une vieille dame un peu piquée dont je me souviens bien, lui fait connaître Marie-Thérèse SIGUIER. Elle est la fille aînée d'un chirurgien et généraliste de la ville. Ils se fiancent en juillet et se marient le 18 septembre.

Papa et Maman se sont aimés toute leur vie. J'en suis témoin. Papa a du être séduit par la fantaisie qu'il trouvait dans sa belle famille et l'ouverture qu'elle lui apportait. Il appelait sa belle-mère "ma petite Thérèse". Maman qui avait treize ans de moins que son mari s'appuyait sur lui.

Pourtant elle avait bien ses idées et sa personnalité.

Papa était calme et réfléchi. Maman, nerveuse, vive, spontanée et bavarde. Papa plein d'humour. Maman de verve et d'imagination.

Entre 1922 et 1956 ils ont habité 185, rue d'ALESIA.

Papa était le directeur d'une usine d'asphaltes : les Mines de Bitume et d'Asphalte du Centre. Je suis née le 10 Août 1925. Maman a été accouchée par son père, chez lui à MELUN. Elle a ensuite très vite attendu un numéro deux. Mais des problèmes pendant sa grossesse ont finalement abouti à un accouchement prématuré. Le bébé qui se serait appelé Jean-Loup était non viable. Cela a terriblement marqué Maman qui n'a jamais pu avoir d'autre enfant. Et je réalise combien, par contrecoup, j'ai moi aussi été marqué par tout le "non dit" à ce sujet. Mais cela devient "mon" histoire et non celle de mes parents !

Pour revenir à eux, en 1936 après les grèves, nous déménageons 21, rue Casimir PERIER. Heureuse époque où l'on trouvait l'appartement qu'on voulait. Celui-ci était proche de l'école où j'allais et le quartier était agréable.

En 1939-40, Papa m'envoie avec Maman à BLOIS où des amis étaient réfugiés. Pourquoi BLOIS ? Parce que sa Société avait une position de repli à TOURS. En mai 1940, c'est l'exode. Maman et moi d'un côté, Papa et la Société de l'autre, pour se retrouver près de CLERMONT-FERRAND où se trouvaient une mine et une usine d'asphalte. Les parents remontent sur PARIS dès qu'ils peuvent ( Août 40 ? ).

Nous vivons les années d'occupation à PARIS. En 1945 nous hébergeons pendant deux mois Jacques LEGRELLE. Je me fiance en Décembre et me marie en Juin 46. Les deux ménages logent rue Casimir PERIER. L'été 49 les parents nous laissent tout l'appartement et s'installent 44, rue de VARENNE.

Les parents avaient acheté la Sauvageonne à CARTERET dans la MANCHE en 1934. Avant cette date ils descendaient à l'hôtel. Maman y avait passé sa jeunesse chez des amis.

Quand Papa a pris sa retraite, après des problèmes de changement de direction, ils habitaient CARTERET de Pâques à la Toussaint. Ils voyageaient aussi avec des amis. En EGYPTE. En GRÈCE...

En Mai 1964, ils voyagent tous deux en ANDALOUSIE. Papa a un infarctus. Il meurt trois semaines plus tard à l'hôpital de GRENADE, le 8 Juin 1964.

Maman est restée seule neuf années, se raccrochant à ses petits-enfants, mais très attachée à son indépendance. En Juillet 1973, au cours de vacances chez des amis, on la retrouve inanimée dans sa chambre. Elle meurt cinq jours plus tard, après avoir été ramenée à l'hôpital. 

CLARET, Emile Jean (I2306)
 
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Caporal

Affectation : 4°A De Langle de Cary 16°CA Grossetti 31°DI Vidal 62°BI Tauflib 142e R.I. 3° compagnie

Tué à l'ennemi

 
MONMOTON, Léon Benjamin Emile (I1887)
 
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Château d'Esplas, commune de Rebourguil (12)

Le château surplombe le hameau d'Esplas, bâti tout autour, et qui se situe à 5km à l'ouest de Rebourguil.

Le donjon serait du XI ou XIIième siècle, trois des corps de logis du XIIIième et le quatrième à la Renaissance.

Les anglais tentèrent vainement son siège vers 1375. Les propriétaires successifs identifiés ont été la famille de Camarès, de Malemort, de Martrin durant plusieurs siècles, de Gaujal de Montalègre, de Cambiaire puis d'Alexandry en 1952 qui en sont toujours propriétaires à ce jour. 

DE MARTRIN, Chevalier Bernard (I2535)
 
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François-Joseph PAUPY(POPY) alias Francis POPY est un compositeur français né le 1er juillet 1874 dans le quartier de la Croix-Rousse à Lyon et mort à Belleville (Rhône) en 1928.

Originaire d'une famille de maçons creusois, Francis POPY est né au 7 place Commandant-Arnaud dans le 4e arrondissement de Lyon. Une plaque commémorative situe sa maison natale (anciennement rue du Sentier). Un parc boisé, d'un peu moins d'un hectare dans le quartier de la Croix-Rousse à Lyon, porte son nom

Sa musique est représentative de la Belle Époque. Il compose ses premières œuvres lors de son service militaire. Engagé volontaire à 19 ans, il fera carrière dans l'Armée comme Musicien. Il devient membre définitif de la SACEM en 1906. Son oeuvrvre importante comporte entre autres : 401 Compositions Orchestrales, 144 Chansons, Chant Choral, Musique pour Piano seul, musique de chambre ... Auteur de la valse : Le SPHINX (1906) retrouvée dans le répertoire de l'Orchestre à bord du paquebot TITANIC qui a fait naufrage dans la nuit du 14 au 15 avril 1912 au large de Terre-Neuve aprés avoir heurté un iceberg ou 1513 personnes périrent. Un extrait de cette valse est jouée dans le film TITANIC de James CAMERON sorti en 1998. 

POPY, François Joseph (I3284)
 
13

f° 143

T° Claude Chanteur - Joseph Guebet - Claude Pechet - Pierre Vigne- Malier

 
Famille: Benoit GUEBET / Michelle CHANTEUR (F62)
 
14

f° 175

bapt. le 2 Mars

Parrain : Gaspard (Comée), domestique - Marraine : Delle Marie Levieu

T° Claude Pechet - Etienne Chanteur

 
CHANTEUR, Marie Margueritte (I294)
 
15

f° 177

T° ses fils : Estienne, Pierre et André et Claude Pechet.

Tous d\'Arandon

 
Famille: Claude CHANTEUR / Joselle FOURNIER (F45)
 
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f° 19

Epx veuf d\'Anne Donet

Epse veuve de Pierre Gros

T° Etienne Chanteur, Noël Piloz, Benoit Ricoz et Marc Malié (aucun signe)

 
Famille: Claude CHANTEUR / Manianne PASCHAL (F58)
 
17

f° 86

T° Antoine Genis Janais et Etienne Dubois

 
Famille: Joffrey SOBIN / Marie CHANTEUR (F56)
 
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Gabriel est le cinquième enfant de Louis et Reine Joséphine. Il naît en 1882. C'est un garçon intelligent. Il fait des études d'ingénieur à l'Ecole Centrale de LYON dont il obtient le diplôme.

A l'âge où ses frères se marient, Gabriel est toujours célibataire. Il habite à LYON où il travaille d'abord dans une fabrique de bronze pour églises. On le retrouve quelques années plus tard au sein de l'Agence SERVE-BRIQUET-CLARET, s'occupant de problèmes d'épuration et d'installation de chaudières industrielles.

Joyeux vivant, à la fois sportif et mondain, d'un caractère à dominante optimiste, sa compagnie est très recherchée, particulièrement des maîtresses de maison lyonnaises qui aiment l'avoir à leur table.Pendant la guerre, en 1915, Gabriel fait partie du corps expéditionnaire contre la Turquie. On remarque sa conduite héroïque lors des opérations aux DARDANELLES.

De retour dans ses foyers, il pousuit une vie active, sortant beaucoup, circulant à vélo et même en tandem jusqu'à MORESTEL à moins que ce ne soit à bord de son cabriolet FORD.

Ce n'est qu'en 1957 que Gabriel épouse Jeanne SCHEIDEGER. Il a 55 ans. Il aura donc attendu la mort de sa mère pour introduire dans la famille et amener à MORESTEL celle avec qui il partagera les dernières années de sa vie. Il est vrai que Jeanne est suisse-allemande et protestante : trop à la fois pour Reine Joséphine...

Le ménage, qui n'a pas d'enfants, habite rue de la Charité à LYON. Gabriel et Jeanne sortent beaucoup, voyagent dans leur cabriolet PEUGEOT 501, pèchent à la truite, jouent au bridge et au tennis. Pour leurs neveux et les enfants de leurs neveux, Gabriel a toujours eu l'image d'un oncle-gâteau : jeune d'esprit, rieur, aimant plaisanter et aussi écouter. Il avait instauré l'habitude de se rendre chaque année aux réunions familiales de Noël à MORESTEL, chargé d'énormes valises bourrées de jouets pour tous les enfants.

Gabriel décède en 1954 à LYON. Il est âgé de 72 ans.

 
CLARET, Gabriel (I2305)
 
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Héritier universel de Jean du Buisson, marquis de Bournazel, Mirabel, etc., son cousin. Donne à Jean, son cousin, les biens de François, son oncle. En l'absence d'héritier légitime, restitue à noble René de Framond de Glandières, en 1652, la terre del Fraisse et autres à lui échues par les legs de sa mère Jeanne de Framond et de sa tante Aiglène de Framond, provenant de l'héritage de leurs maris, Laparra de Lacoste de Mayran (1ères noces) et Séverac del Fraysse. Avait hérité de François son oncle à condition de ne jamais vendre la métairie du Buisson, "la plus ancienne rente de sadite maison et le premier bien d'icelle" (18.02.1527, 60J17, cité par Martin de Framond, Fonds de Faramond, p. 125).

Recommande ses fils et filles naturels à Jean de Buisson marquis de Bournazel, Mirabel, etc., et à François de Saunhac seigneur del Périé son cousin (voir tableau ci-après). Finit ses jours chez Claude Issanchou.

Bail fait à Laurent Thoery par Noble François de La Bouyrie sgr de La Coste, Boyer, not. de Clairvaux, 3E 17382 & 17383, 17 janvier 1619 et .. mars 1619 (cités par M. Cuoq)

2. Chefs de monitoire pour François Boyer, à l'effet de réunir des preuves contre sa femme: "Premièrement contre toute personne de quelle quallité ou condition que soict qui scaurait de certaine sciance pour l'avoir veu, ouy dire ou aultrement que certaine damoyselle de ce pays, maryée despuis quatre ans ou environ se seroict tellement obliyée des son debvoir que despuis environ ung an elle auroict reserché l'amour d'ung gentilhomme ou autre personnaige de ce pays de telle façon que pae par l'entremise de certains personnaiges elle auroict moyenné de parler a luy clandestinement et au desceu de son mary de nuict et de jour en des lieux escartés et hors d'hantise et frequentation, et encore dans la maison propre de sondict mary a l'absence d'icelluy", etc... (18.02.1620, cité par Martin de Framond, p. 125).

3. Accord entre noble Hercule d'Hébrard seigneur de Carmaux et noble François de Boyer son gendre; autre accord entre ce dernier et sa femme Antoinette d'Hébrard, qui aura 220# de pension annuelle pour les intérêts de sa dot, et disposera au château de La Coste d'un appartement fermant à clé (24.10.1632, 08.11.1632, 60 J27, cité par Martin de Framond).

4. Institution de rente par François de Boyer en faveur de Marguerite de Laboyrie sa fille naturelle, femme de Jean Raynalh, de Drulhe. Après son décès, Marguerite recevra un jardin (03.07.1639, 60 J27, cité par Martin de Framond).

5. Testament de François de La Bouyrie, qui veut être enterré à Boussac dans le tombeau d'Ayglène de La Framondie sa tante; legs de 60# à sa femme, 1000# à son cousin Jean de Framond; tous ses biens à Calmont, un cheval et ses armes à son cousin Jean de La Bouyrie, seigneur de La Bastidette; 600# à Jeanne de Framond sa filleule; 300# à François de Morlhon, seigneur de Boussac; 30# à Mesdemoiselles de Boussac et del Périé, ses cousines; legs à ses enfants naturels et de Marie Blanc: Marguerite de Laboyrie, femme de Jean Raynal; Loyse de Laboyrie, femme d'Antoine Issanjou; Jeanne de Laboyrie, femme d'Antoine Lacombe; autre Marguerite de Laboyrie, et Marc Antoine de Laboyrie, qui reçoit en particulier un cheval de 40#; legs à Catherine de Laboyrie, son autre fille naturelle et de Peyronne Tournier. Il fait son héritier universel Jean de Buisson, marquis de Bournazel et Mirabel, son cousin, à condition d' "estre bon amy ausdits de La Boyrie mes fils et filles naturelleles, ... et les ascister comme il m'a promis". Il lègue en outre une robe de serge noire à Marie Blanc, du Fraysse, mère de ses enfants, pour suivre son deuil, et remet à son cousin François de Saunhac, seigneur del Périé, ce qui lui était dû par le seigneur du Bosc pour un cheval acheté dans l'intention d'aller à la guerre. (05.11.1642, 60 J17, cité par Martin de Framond, p. 126).

6. Donation par François de La Bouyrie à son cousin germain Jean de La Bouyrie seigneur de La Bastidette, des biens provenant de son oncle François, ainsi que la métairie de Sol (Sermur) (23.05.1646, 60 J27, cité par Martin de Framond).

7. Accord de François de La Bouyrie, dans l'impossibilité d'avoir une postérité légitime, avec René de Faramond de Glandières, baron de Jouqueviel, à qui il restitue l'héritage de Jeanne de Framond, dame de La Coste, sa mère, conformément aux substitutions contenues dans le testament de celle-ci, et sous réserve d'usufruit (16.10.1651, Maliani, not., 60 J27, cité par Martin de Framond, p. 126).

8. Le sénéchal de Rouergue impose à messire François de Soulages, sgr de Tholet, de remettre au sieur de La Coste les titres d'une rente sur les villages de Grandsaigne, La Carmalie, Issanjou, Boutescure, Courbenac (03.02.1652, Martin de Framond, Fonds de Faramond, p. 158, 60 J30).

9. Autre accord entre les mêmes: François de La Bouyrie donne à René de Faramond la terre del Fraysse et autres biens provenant de sa tante Ayglène de La Framondie. Faramond avance 2000# sur la dot de Marguerite de Boyer, fille illégitime de François, et 500# sur les droits de Marc Antoine de Boyer, son fils (13.05.1652, Vacaresse, not., 60 J27, cité par Martin de Framond).

10. François de La Bouyrie, craignat que ses honneurs funèbres ne soient faits comme à une personne de sa condition si ce n'était par François de Saunhac seigneur del Périé son cousin, lui fait remise de 800# à lui dues par feu Henri de Saunhac et Hélène de La Framondie, parents de celui-ci, et lui donne un cheval, à condition qu'il se montre bon ami de ses enfants naturels (04déc1653, Barnabé, not., 60 J27, cité par Martin de Framond).

11. Le seigneur de La Coste abandonne l'usufruit qu'il s'était réservé sur les biens des Boyer, sis à Calmont, dont il avait fait don à son cousin le seigneur de La Bastidette, en raison du mauvais état des biens. En présence d'Antoine Lacombe-Laborie, capitaine du château de Calmont (27.02.1661, Molinier, not. de Calmont de Plancatge, 60 J27, cité par Martin de Framond).

12. Testament de François de Laboyrie: legs en faveur d'Antoine Lacombe-Laborie, son gendre, auquel il doit 500# payées au seigneur Duchesne, receveur, "pour sortir ledit testateur des prisons ou ledit seigneur Duchesne l'avoit fait constituer a faute d'avoir justifié de sa noblesse"; il supplie son héritier de protéger ses enfants naturels, leurs maris, femmes et enfants; legs en faveur d'Antoine Issanjou son gendre, Claude Issanjou qui le soigne, François de Laborie son filleul. Il nomme son héritier universel René de Faramond baron de Jouqueviel. Fait au Fraysse, chez Claude Issanjou (12.09.1670, 60 J27, cité par Martin de Framond).

13. Codicille par lequel il reconnaît avoir fait des actes faux ou antidatés, lésant le baron de Jouqueviel (13.09.1670, Mazars not., 60 J27, cité par Martin de Framond).

Château de La Coste (commune de Mayran):sur la rive droite de l'Aveyron, "composé de tours, salle, cuisine, chambres et antichambres, cave vinaire" (cité par Albert Mazars, "Au cœur de notre Haut-Ségala", p. 31). "À 4 km en amont de Belcastel, et à 2 km au sud de Mayran, existait jadis le château de La Coste, dont il ne reste aujourd'hui que quelques pans de mur. Vers le milieu du XIXe siècle, seule une vieille tour démantelée subsistait. L'ancienne habitation a été éventrée, mais on ddistingue encore l'emplacement avec des traces de murs, de fenêtres et d'escaliers à vis de la tour. Une pierre portant de très belles armes sculptées a été encastrée dans le mur d'une maison d'habitation" (Raymond Noël, Dictionnaire des châteaux de l'Aveyron, I, p. 550).

Le château du Fraysse (commune de Boussac) passe aux Framond en 1670, et leur appartient jusqu'à la Révolution. Il fut pillé par les paysans le 13 février 1790. Son propriétaire, M. de Faramond, arrivant à l'improviste, mit les paysans en déroute. En 1795, M. de Senergues le vendit à M. Issanchou du Fraysse, qui le transforma en carrière (Raymond Noël, Dictionnaire des châteaux de l'Aveyron, II, p. 53). 

BOYER DE LA BOUYRIE, François (I1662)
 
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Jean CLARET est laboureur.

Les indices qui le désignent sont bien faibles. Sur l'acte de décès de son plus jeune fils Joseph, il est dit "de BRAILLE", hameau de VEZERONCE, à 2 Km environ au Sud-Ouest du village.

La ferme qu'il habite est assez approximativement identifiable encore de nos jours. Le hameau de BRAILLE n'est en effet constitué que de quelques demeures. Il est situé au centre d'une large dépression, marécageuse et insalubre, coupée dans tous les sens par des canaux de dessèchement. Rappelons que c'est dans cette plaine que CLODOMIR, fils de CLOVIS, remporta une victoire sanglante sur les Burgondes en 524. Victoire qu'il paya d'ailleurs de sa vie.

Jean naît donc à VEZERONCE en 1658. Il épouse Catherine MORLET (ou MOUNET), de BRAILLE comme lui.

source O. Chauveau

 
CLARET, Jean (I282)
 
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Joseph, le dernier des trois frères, naît à 10 h. du matin, le 31 mars 1908 à MORESTEL. Son père Pierre, alors âgé de 32 ans, le déclare le jour même à la mairie. Joseph passe son enfance à MORESTEL avec ses deux frères Antoine et Pierre. Alors qu'il a l6 ans, sa famille s'installe dans la maison des ROCHES.

On retrouve Joseph à LYON. Probablement sous la conduite de son frère aîné Antoine, puisque comme lui, il travaille dans des maisons de soierie où "il a des intérêts". Il est même réputé avoir été comptable dans une de ces maisons. Il semble que, comme son frère aîné, il fasse rapidement fortune et, bientôt, s'arrête de travailler. En 1845, il est qualifié de "négociant". Mais déjà en 1844, sur son acte de mariage, on le disait "rentier", demeurant à MORESTEL. Son petit-fils Edouard rapporte d'ailleurs que son père prétendait n'avoir jamais vu son propre père travaillant.

En 1844, Joseph a 36 ans. Il épouse Marie GINDRE qui en a 18. Le mariage religieux est célébré le 10 Juillet en l'église SAINT POLYCARPE à LYON.

 
CLARET, Joseph (I2280)
 
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Laissons Edouard nous parler de son père : "Mon père, le plus jeune d'une famille de six enfants est né à Lyon 4, cours Bourbon le 24 avril 1854. J'ai bien connu son frère mon oncle Louis et ses deux soeurs Madame DEBAUGE et Madame GUISE.

Mon père se souvenait parfaitement de sa grand'mère CLARET née REVOL, décédée quand il avait 10 ans et encore mieux de sa grand'mère GINDRE née VETTARD qui est morte alors qu'il avait 28 ans. C'était une femme très pieuse aux conseils de laquelle il devait, disait-il, beaucoup.

Il fit ses études au collège des Chartreux à LYON. Il commença, comme moi, par être un élève médiocre qui ne mordait guère au latin et au grec. Avec l'âge, il se mit à travailler. Il passa son bachot, puis prépara St. Cyr à la rue des Postes (Collège des Jésuites à PARIS).

Il fut reçu à St Cyr dans la même promotion que le futur Maréchal LYAUTEY. Sorti comme Sous-Lieutenant, il tint garnison à VIENNE, EPINAL, VALENCE, SAUMUR... Au moment de son mariage, il était Capitaine au 4ème Dragons à CHAMBERY. C'est là que je suis né.

Ma soeur Marie est également née à CHAMBERY. C'est peu d'années après sa naissance que mon père fut nommé Capitaine instructeur à SAUMUR. Un ou deux ans plus tard il fut nommé Chef d'Escadron au 2ème Dragons à LYON. Nous y sommes restés de nombreuses années, car l'avancement de mon père fut retardé par l'odieux système des fiches. J'avais un peu plus de 15 ans quand il fut nommé Lieutenant Colonel au 7ème Dragons à FONTAINEBLEAU, ce qui me valut d'entrer comme pensionnaire au Collège Stanislas à PARIS. Deux ou trois ans plus tard II était nommé Colonel du 9ème Dragons en garnison d'abord à LUNEVILLE puis à EPERNAY. C'est de là qu'il partit pour la guerre au début d'août 1914.

Affecté à la Sème Division du Corps de Cavalerie (Général SORDET) il prit part à la marche sur NAMUR et LIEGE. Après quelques jours, souffrant d'un antrax mal placé, il fut évacué sur REIMS, où je réussis à aller le voir pendant que mon dépôt était au camp de CHALONS.

Rétabli, il prit part à la bataille de la Marne, dans la région de MONTMIRAIL, puis au raid de cavalerie derrière les lignes allemandes. Ce fut ensuite la course à la mer jusqu'à DIXMUDE, où il prit part à la dure bataille dont cette ville fut l'enjeu. C'est alors que je rejoignis le front, dans la région de DIXMUDE, à l'artillerie de la 4ème Division de Cavalerie, laquelle faisait partie du même 2ème Corps. En revenant, au repos, dans la région de FREVENT, j'ai eu la joie de rencontrer mon père... jugé trop âgé pour demeurer au front (février 15).

Il fut renvoyé à l'intérieur, où il commanda un dépôt de cavalerie à DIJON jusqu'en 1917. C'est alors que définitivement mis à la retraite, il vint se fixer à PARIS, 6l, rue de Vaugirard. Il était officier de la Légion d'Honneur.

Mes parents restèrent vingt et un ans à PARIS. Au début mon père fut occupé au service du recouvrement des bénéfices de guerre, puis il ne s'occupa plus que de bonnes oeuvres. Il s'y donna tout entier. Je ne peux préciser de quelles oeuvres il s'occupait car, modeste et silencieux, il ne parlait jamais de ses occupations. Je sais simplement qu'il faisait partie d'une conférence de St. Vincent de Paul et qu'il s'occupait d'apprentis. Il était tertiaire de St. François.

Pendant vingt et un ans, mes parents ont achevé l'éducation de mes soeurs et de mon frère Léon, puis ils les ont établis. Ils faisaient, chaque année un long séjour à MONTCEAU et plusieurs séjours chez leurs enfants.

A l'automne de 1939, il vinrent se fixer à LYON, 4, place Carnot. Je me trouvais à MONTCEAU, au moment de la mobilisation. Mon père était magnifiquement conservé, très alerte, on ne lui aurait pas donné son âge. Je le revis, une journée à LYON en février 1940. Il était vieilli et se plaignait de ses douleurs. Il s'inquiétait aussi de ses enfants et de ses petits enfants. Je ne devais plus le revoir qu'après la défaite, en Août 41 ; c'était alors un vieillard, lui, si calme, était devenu nerveux et il rendait la vie pénible à ma mère. Je ne devais plus le revoir. Il est mort à Lyon le 13 janvier 1942. La difficulté de traverser les lignes de démarcation allemandes, ne m'a permis d'arriver que pour les funérailles. Son corps d'abord déposé dans le caveau GINDRE à Loyasse, a été transporté un peu plus tard à LA ROCHE-VINEUSE.

Quand j'étais jeune, j'étais mauvais élève (.passablement insupportable, aussi,

mon père était-il sévère avec moi. J'en avais peur et je n'osais lui parler. Mon entrée à Boisfranc fut pour moi un soulagement. Je commençais à y travailler. Mon père devint moins sévère et me donna sa confiance ; je commençais à oser lui parleer. Par la suite il fut toujours très bon pour moi, ma femme et mes enfants. Je regrette de ne pas avoir pu l'entourer davantage pendant sa vieillesse. Il avait épousé, à LYON le 22 mai 1885 ma mère Jeanne, Marie, Marguerite O'BRIEN (17 juin 1863 - 4 février 1942). Mes parents ont eu cinq enfants : Pierre 1886, Edouard 1890, Marie 1893, Isabelle 1896 et Léon 1903".

 
CLARET, Emile François (I2293)
 
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Le premier représentant de la branche de la famille CLARET dont nous allons retracer l'histoire est Jean CLARET. Il est laboureur.

Les indices qui le désignent sont bien faibles. Sur l'acte de décès de son plus jeune fils Joseph, il est dit "de BRAILLE", hameau de VEZERONCE, à 2 Km environ au Sud-Ouest du village.

La ferme qu'il habite est assez approximativement identifiable encore de nos jours. Le hameau de BRAILLE n'est en effet constitué que de quelques demeures. Il est situé au centre d'une large dépression, marécageuse et insalubre, coupée dans ts les sens par des canaux de dessèchement. Rappelons que c'est dans cette plaine que CLODOMIR, fils de CLOVIS, remporta une victoire sanglante sur les Burgondes en 524. Victoire qu'il paya d'ailleurs de sa vie.

Jean naît donc à VEZERONCE autour de 1673. Il épouse Catherine MORLET (ou MOUNET), de BRAILLE comme lui. Le ménage aura trois enfants.

 
CLARET, Jean (I282)
 
24

Louis, le troisième des garçons, naît en 1878. Très proche de son frère Henri, de deux ans son aîné, il fait comme lui ses études chez les Frères de la Montée Saint Barthélémy, à MONGRE à VILLEFRANCHE et au collège STANISLAS à CANNES. Quand il e est étudiant, ses parents n'habitant pas à LYON, il loge chez ses cousins GUISE auxquels sa mère paie une pension mensuelle. Louis obtient le diplôme de l'Ecole de Commerce de LYON et s'installe 39, cours de la Liberté à LYON. Il travaille alors comme employé de commerce.

En Août 1909, âgé de 31 ans, il épouse Marguerite BRAC de la PERRIERE qui habite chez ses parents à LA MULATIERE, 40, quai Jean Jacques Rousseau. Le père de la jeune fille, Irénée Marie Jacques BRAC de la PERRIERE, est directeur à LYON de la Compagnie d'Assurances L'AIGLE. Sa mère, Marie Jenny, est née GIRIN. Louis apporte à la communauté 10.000 Fr. d'économies sous forme de valeurs diverses auxquels s'ajoutent 100.000 Fr. donnés par ses parents. Quant à Marguerite, en plus de son trousseau, elle apporte 30.000 Fr. et un immeuble sis à LYON, l6, rue Clos Suiphon estimé 75.000 Fr.

Louis et Marguerite habitent à LYON et se rendent fréquemment à MORESTEL. La grande épreuve du ménage est de n'avoir pas d'enfant. Marguerite, dont la santé est fragile, meurt le 30 Mai 1927 à l'âge de 40 ans.

Louis décide alors de consacrer le reste de ses jours à la prêtrise. Après une formation religieuse rapide du fait de son âge, il est ordonné prêtre de la Petite Société de la Sainte Famille. Le 21 Juin 1931, il célèbre sa première messe. Sa mère, Reine Joséphine, en est bien émue. Louis travaille alors dans les ateliers de l'abbé BOISARD, école de formation en ébénisterie.

La prêtrise n'altère en rien le caractère gai et agréable de Louis. Sa largesse d'esprit, sa générosité et sa gentillesse le font aimer de tous. Le 24 Septembre 1955, il est renversé par une voiture à LYON et meurt. Par testament, tous ses biens vont à l'oeuvre de l'abbé BOISARD. 

CLARET, Louis Henri (I2303)
 
25

marraine Louise Cholet de Chassin

parrain Pierre Donet, fermier de ? de Vienne

 
CHANTEUR, Louise (I284)
 
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naissance: Il fût pourvu, le 10 décembre 1484, par le Sire d'Albret, curateur de la personne et des biens du Comte Charles d'Armagnac, du commandement des places de Bénaven et de Montézic, et par lettres patentes du Roi Charles VIII, en date du 23 mai 1485, de l'office de capitaine-châtelain du Château de Roquecézières, "récompense due", disent ces lettres, aux grands et recommandables services rendus à sa Majesté, par son très chéri ami Jehan de MARTRIN.

Il fût l'un des officiers les plus distingués par Sa Majesté Charles VIII dans sa province de Rouergue.

Il fut pourvu, le 10 décembre 1484, par le sire d'ALBRET, curateur de la personne et des biens du comte Charles d'ARMAGNAC, du commandement des places de Bénaven et de Montézic, et, par lettres patentes du roi Charles VIII, en date du 23 mai 1485, de l'office de Capitaine châtelain de Château de Roquecezière, "récompense due, disent ces lettres, aux grands et recommandables services rendus à Sa Majesté, par son très chéry ami Jehan de MARTRIN."

Il fût l'un des officiers les plus distingués par Sa Majesté Charles VIII dans sa province de Rouergue.

 
DE MARTRIN, Jean Ier (I2507)
 
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Origine du fief d'Esplas :

A l'origine, la Seigneurie d'Esplas fut détachée de la seigneurie du pont de Camarès lorsqu'en 1261, Guillaume du Pont marie sa fille Jeanne à Bernard de Béranger de Malemort et la dota des fiefs d'Esplas, de La Lauzière et de St-Martin. Cette seigneurie comprenait 2 villages, 12 hameaux et 3 clochers, soit une superficie d'environ 1800 ha. Guillaume du Pont était un descendant d'Arnaud du Pont, un des co-fondateurs de l'Abbaye de Sylvanès avec Pons de Leyras.

La terre détachée peut être considérée comme baronniale puisqu'à l'époque de St Louis, la partie démembrée conserve le titre de la terre mère.

La famille de MARTRIN :

En 1349, Bernard de Martrin achète à Bérenguier de Malemort et à son fils Arnaud, le château d'Esplas et la seigneurie du lieu avec le titre de baronnie (parchemin signé du Pape Clément). Auparavant, la famille Martrin avait cédé son château de Martrin aux chevaliers de Malte. Ainsi on retrouve Héliot, le frère de Bernard de Martrin, précepteur (commandeur) de l-ordre hospitalier de St-Jean de Jérusalem.

Cette acquisition de 1349 se situe dans un contexte historique dramatique, la grande épidémie de peste noire déferle sur la France depuis un an et la France est un véritable charnier. La guerre de 100 ans commencée en 1337 voit la France essuyer ses premières défaites à la bataille de l'écluse (1340) et à Crécy (1346).

En 1371, quelques années après le traité de Brétigny (1360) qui laisse les deux tiers de la France, y compris le Rouergue aux anglais, le château d'Esplas est attaqué par les anglais, Bernard de Martrin résiste à l'assaut mais perd plusieurs de ses fils lors de l'attaque...

Brenguier de Martrin eut 11 enfants dont Olivier qui succéda à son père pour la baronnie et la seigneurie d'Esplas, et Arnaud auteur de la branche qui existe toujours sous le nom de Martrin-Donos.

Jean de Martrin 1er du nom, fils d'Olivier ; Il fût un brillant officir et fût pourvu de l-office de capitaine châtelain du château de Roquecézières le 25 mai 1485 par lettre patente du Roi Charles VIII.

François, 2ème du nom, arrière petit fils de Marquès et fils d'Izabeau de Nozier dont on nous dit qu'elle était une très belle femme d'après son portrait qui est encore au château d'Esplas en 1870. Isabeau mourut à Vabres l'abbaye en 1711 après avoir désigné son fils François comme héritier universel.

François fût tué à 22 ans à la bataille de Denain le 24/07/1712. Sa soeur Jeanne hérita de la terre et du Château d'Esplas, et le titre de baron d'Esplas passa aux descendants de son oncle Charles qui avait fixé la résidence en albigeois. Ainsi finit la branche masculine des seigneurs d'Esplas.

Jeanne de Martrin épousa Jean Baptiste de Boziat de Mantelet. Nous retrouvons actuellement le blason d'alliance de ces deux familles à l'entrée du château d'Esplas. Leur fille unique, Marie-Jeanne, épousa Jean Marc Alexandre de GAUJAL de MONTALEGRE. Marie-Jeanne de Boziat eut une fin tragique. Habitant St Sernin sur Rance, elle fut surprise en flagrant délit d'adultère par son mari et fut assassinée avec son amant par celui-ci. Lequel condamné à mort par contumace se sauva en Espagne où il prit servioce dans l'armée espagnole et finit Gouverneur de Barcelone.

Leur fille unique, Anne, épousa Jean-Pierre de Cambiaire du Fraysse et apporta le château d'Esplas à son mari.

Henriette, fille unique de Joseph de Cambiaire épouse Osmin d'Alexandry. leur fils unique, Gérard, vendra le château d'Esplas à la mort de sa mère en 1980.

Le Château d'Esplas, anciennement "des Plos" ou "des Plots" (ou de Planis), commande le village qui est bâti tout autour.

En 1261, Guillaume du PONT, Seigneur du Pont de Camarès, maria sa fille Jeanne à Bernard de BERENGER de MALEMORT, et lui donna en dot les fiefs d'Esplas, de Lauzières et de Saint-Martin, qu'il détacha de sa terre principale. telle est l'origine de l'ancienne Seigneurie d'Esplas, dont Bernard de MARTRIN fit l'acquisition de Brenguier de MALEMORT, et d'Arnaud Brenguier, son fils, le 30 décembre 1349.

Il était assisté dans la prise de possession de la terre d'Esplas, en 1349, (terra et baronia de Planis) de Héliot de MARTRIN, son frère, précepteur (Commandeur) de l'Ordre de St-Jean de Jérusalem, et vivait encore en 1376.

Bernard de MARTRIN défendit son château contre les Anglais, qui avaient, à cette époque, envahi le Rouergue ; mais il souffrit beaucoup de leurs attaques, et perdit même, pendant le siège, plusieurs de ses enfants, tombés sous le fer de l'ennemi, comme il conste d'après une sentence du Sénéchal du Rouergue du 18 octobre 1376, qui ordonne aux habitants d'Esplas, de garder le dit Château jour et nuit.

Il suit de là que la terre d'Esplas pouvait être considérée comme baroniale, car Saint-Louis, dans le but d'affaiblir la haute féodalité, avait disposé dans ses Etablissements que, lorsqu'à l'avenir un seigneur titré démembrerait sa terre pour d doter un de ses enfants, la partie démembrée conserverait le titre de la terre mère. Or, c'est bien sous l'empire des Etablissements de ce roi qu'eût lieu le démembrremnt de la baronnie du Pont de Camarès. Du reste, un titre postérieur ne laisse aucun doute à cet égard ; ce sont les lettres patentes qui autorisent l'érection des fourches patibulaires in terra et baronia de Planis.

Il fût également Seigneur de Ferrayrolles, de Serregrand, de Saint-Sernin.

Acte d'hommage des habitants d'Esplas à leur nouveau Seigneur Bernard de MARTRIN, en 1349 :

Au nom du Seigneur,amen. L'An de la Nativité du Seigneur 1349 et l'avant dernier jour du mois de décembre, troisième année de l'indiction, la septième année du pontificat de notre Saint Père et seigneur Clément VI, pape par la grâce et la provididence divines, sous le règne du sérénissime prince messire Philippe par la grâce de Dieu roi de FRance, qu'il soit connu de tous qu'en la présence de moi, notaire publié, et des témoins ci-dessous mentionnés, Noble Guillaume de CAM.., damoiseauu, procureur des nobles Aymerie BERANGER, Seigneur de Grandmont au diocèse de Lodève, et Arnaud, son fils émancipé, en vertu de la procuration fondée sur la teneur d'un acte public reçu par moi, notaire soussigné, et en leur nom déclara fermement et, dans la mesure de ses pouvoirs, enjoignit à Raymond Maynil et Mathieu Maynil, du mas de Salvaute, Raymond Gavauda, Jean Gavauda et Jean Casetas, du château d'Esplas, Déodat Garnier et Déodat Rouquette, du mas de Bétirac, Hugues Aguos, du lieu de La Trivalle, Jean et Pierre Fabre, du mas de Salles, Etienne de La Calm et Etienne de Fons, du mas del Apier, Pierre Roussou, Raymond Etienne et Michel Salomon, du mas de Serregran, Pierre Sauzet, du dîmaire de Las Lauzieyras, Déodat de Martillergues et Guillaume Planes, du mas de Frayssinous, présents, et à tous les autres paysans tenanciers comme eux et emphyteotes des terres, possessions et exploitations situées dans le ressort du Château d'Esplas, bien qu'absents et se présentant en cours d'acte, de répondre désormais intégralement de tout ce qu'ils tenaient jusqu'à présent ou que leurs ancêtres, dont ils sont les ayants droit, avaient tenu des nobles Ayméric et son fils Arnaud Bérenger, au Noble seigneur Bernard de Martrin comme véritable et unique seigneur du Château d'Esplas et de ses appartenances et de lui rendre et prêter, à lui ou à son procureur spécialement mandaté par lui, les reconnaissances, hommages et serments de fidélité comme ils le faisaient et étaient tenus de le faire aux nobles père et fils déjà cités.

Et c'est alors que le noble Bertrand CALVEL, procureur et au nom dudit noble Bernard de MARTRIN, seigneur d'Esplas, requit de tous les susnommés de lui faire au nom de son seigneur la reconnaissance des fiefs et des possessions qu'ils tiennent dans le ressort de ce château comme leurs ancêtres, dont ils ont reçu ces mêmes droits, et eux-mêmes sont tenus de le faire audit seigneur du Château d'Esplas en Camarès.

Mais ensuite les paysans susnommés requirent ledit procureur, représentant ledit seigneur d'Esplas son seigneur, et ledit seigneur, bien qu'absent mais représenté par ledit procureur, de tenir et conserver intactes les coutumes, libertés et franchises audit château et d'en faire la promesse sous serment pour le compte de sondit seigneur.

A son tour, ledit Bertrand CALVEL, damoiseau, comme procureur et au nom de sondit seigneur, promit et pour le compte de son susdit seigneur jura par et sur les saints Evangiles de Dieu aux hommes et paysans susdits, acceptant et recevant cet engngagement pour eux-mêmes et pour les autres hommes audit ressort malgré leur absence, de tenir et conserver dans leur intégralité les libertés, coutumes et franchises audit château, pour autant qu'elles soient fondées en droit, de la même manière que les seigneurs dudit château, prédecesseurs audit messire Bernard de Martrin son seigneur, les ont traditionnellement conservées et tenus jusqu'à ce jour en bonne justice.

Une fois tous ces préalables étant réglés, les susdits Raymond et Mathieu Maynil, Raymond et Jean Gavauda, Jean Casteas, Déodat Garnier, Déodat Rouquette, Hugues Aguos, Jean et Pierre Fabre, Etienne Lacalm, Etienne de Fons, Pierre Roussou, Raymond Etienne, Michel Salomon, Pierre Sauzet, Déodat de Martillergues et Guillaume Planes reconnurent et firent l'aveu qu'ils tenaient de longue date et que leurs ancêtres dont ils sont les ayants droit, ont tenu de messire Bernard de Martrin, chevvalier et de ses Prédecesseurs, seigneurs du château d'Esplas en Camarès, toutes les terres, possessions, maisons, jardins, près , forêts et tout ce qu'ils ont, tiennent ou possèdent en emphytéose dans le ressort, le district et la juridiction du susdit château d'Esplas et dans ledit château , moyennant les droits de lots et ventes au moment voulu, de cens, d'acapte, d'investition et de tous les autres droits contenus dans les actes qui en relèvents. Et pour ces possessions, ils promirent et jurérent par et sur les saints évangiles de Dieu, en en faisant hommage, d'être des emphytéotes bons et fidèles et ils promirent en outre de soumettre ces biens aux regards, d'en indiquer les confronta et d'en faire chacun la reconnaissannce claire et détaillée chaque fois qu'ils en auront été requis par ledit seigneur d'Esplas ou par son procureur. Et de toutes ces dispositions et de chacune d'elles, ledit procureur et lesdites gens demandèrent, chacun pour sa partie, que soient établis un ou plusieurs actes par moi notaire soussigné.

Fait au Château d'Esplas, diocèse de Vabres, l'an, jour, indiction et règne que dessus, en présence du religieux frère Héliot de Martrin, précepteur de la maison d'Espalion de l'hôpital Saint-Jean de Jérusalem, de messire Bernard Cavauda, prêtre, de Jean Soulier, Jean del Suc et Izarn Jean, témoins spécialement invités et appelés aux opérations précédentes, et de moi Pierre Borie, notaire soussigné. 

DE MARTRIN, Chevalier Bernard (I2535)
 
28

Relevé CGD

Parrain : Guy Modeste LEVIEU - Marraine : Marie Louise MEISSIN

T° - Sr François Michoud de St Victor et Claude Chanteur

 
CHANTEUR, Joseph (I295)
 
29

Sur le French Air Service War Chronology de Bailey / Cony,

il est précisé que le Slt Pierre Claret a été blessé (injured) dans un accident aérien (atterrissage) aux commandes d'un Sopwith 1A2, le 2 mai 1917.

Il est décédé de ses blessures, le lendemain, à l'Hôpital militaire de Chalons-sur-Marne.

Le 3 mai 1917, l'escadrille F 201 était stationnée sur le terrain de Hourges.

Il était titulaire du brevet de pilote militaire n° 4512 en date du 17 septembre 1916.

A cette date, l'escadrille F 201 était sous le commandement du 18ème corps d'armée, lui-même rattaché à la 10 ème armée .

 
CLARET, Pierre Marius (I49)
 
30

° 208

Parrain : André Pernet fs d\'André Pernet

Marraine : Marguerite Gabillon épse de Claude Pechart de Passin.

 
CHANTEUR, André (I287)
 
31 À l'âge de 13 mois CLARET, Claudine (I362)
 
32 À l'âge de 2 mois CLARET, Marguerite (I329)
 
33 À l'âge de 9 mois CLARET, Françoise (I223)
 
34 AD f° 160 CHANTEUR, Claudine Innocence (I291)
 
35 ANTOINE, dit l'aîné, puisque c'est lui qui prend la suite de son père comme fermier à BALMETTE. Il naît le 31 Janvier 1726. Son parrain est Antoine TROLLIET et sa marraine Marianne PAILLET (ou PLANET). C'est à BALMETTE qu'il passe les soixante dix sept années de sa vie jusqu'en 1803. D'abord avec ses parents, puis entouré de ses enfants. CLARET, Antoine (I357)
 
36 au cimetière de St Amans du Ram CAUSSE, Antoine (I3985)
 
37 au cimetière de St Amans du Ram CLÉMENS, Catherine (I3986)
 
38 au cimetière de St Amans du Ram CLÉMENS, Laurens (I4258)
 
39 Au domicile de Louis CLARET, son fils. PATRICOT, Benoîte (I1841)
 
40 Chatelaine de Vézins de Levézou DE VEZINS, Gaillarde (I4810)
 
41 Chevalier, Porte : D'or à l'aigle éployée et couronnée de gueules.

Bérenger de Martrin, écuyer, seigneur d'Esplas, Ferrayrolles, etc…, testa le 6 mars 1411, il avait épousé Jeanne de Lévis, fille de Raymond, dont : Bertrand, écuyer, rendit hommage pour sa seigneurie d'Esplas le 12 janvier 1461. Il eut pour fils : Brenguier, marié en 1480 à Louise de Narbonne, fille d'Antoine, seigneur de Loupian, mort sans postérité; Olivier, mort sans postérité. Lombarde, mariée à Arnaud Compriel; Jacob; Aranguarte; Catherine; Olivier, qui suit; Arnaud, qui fonda la branche des Martrin-Donos; Bernard; Charles; Jean; Guillaume, marié le 4 juin 1411 à Eudée de Raffin, fille de Raymond-Pierre, comte de la Raffinière au diocèse de Rodez. (Tous cités dans le testament) 
DE MARTRIN, Ecuyer Brenguier ou Bérenger (I2522)
 
42 Cimetière de Saint Christophe PELLET, Claudine (I4205)
 
43 Cimetière de Saint Christophe PELLET, Pierre (I4206)
 
44 Consul du bourg de Rodez 1512,1519,1526.En 1498 il acheta a Jean Nattes un pré avec grange situé au quartier du bourg appelé des homs ou de Buffaven.plus tard il acheta une vigne à Saint Austremoine D'AUSTRUY, Guillaume (I4166)
 
45 Consul en 1548,1557, et1561.Jacques d'Austry acheta la métairie de Fontange, prés de Rodez, qui demeura longtemps la propriété de ses descendants. D'AUSTRUY, Jacques (I4168)
 
46 Contrat de mariage Famille: François BROUILLET / Magdeleine RAYNAL (F1653)
 
47 Contrat de mariage Famille: François BROUILLET / Françoise SCALIER (F1972)
 
48 Contrat de mariage (avec Jean VALET) - Vasselin, 38890, Isère, AUVERGNE-RHÔNE-ALPES, FRANCE
cm : Me CUGNAT de Vasselin. - 3E 18801.
dot : 90 livres + une génisse de 2 ans pleine, 
Famille: Jean VALET / Thérèse CLARET (F550)
 
49 Contrat de mariage du 10/2/1637 Famille: Pierre COULON / Marguerite SEGURET (F1668)
 
50 contrat de mariage du 23/10/1677 passé chez Me BAYET, notaire aux Avenières

Comme ainsy soit le mariage a été traité en face notre mère Sainte Eglise catholique appostolique romaine entre honnête Bertrand MOYROUD fils de Anth. et de Gasparde TACONNET ses père et mère de la paroisse de St Didier mandement des Avenières diocèse de Belley d'une part et Claudine TUDEROZ fille de feu Anth. et de Claudaz BOURDEL ses père et mère lesquels ont promis se prendre épouser en face notre sainte mère l'Eglise a la première réquisition ? de l'un et de l'autre icelluy futurs époux procédant de ladite Anthorité de sond ? oncle ? cy présent Sieur Anthel POLLET duvard ? cousin par alliance, Sieur gabriel TACONNET son cousin germain, André CHAMARD son cousin aussi par alliance François GATHIER ? aussi son cousin tous cy présent et le conseillant et la dite future épouse procédant de ladite authorité et conseil de ladite BOURDEL sa mère cy présente et l'autorisant Bernard et Jacques TUDEROZ ses oncles, Claude GRAND aussi son oncle par alliance cy présents et la conseillant et d'autant qu'il est de coutume en le pays de Dauphiné de constituer dotte aux filles , aux causes ce jour vingt sixième jour du mois d'octobre mil six cent septante sept avant midy pardevant moy notaire royalâǬ soussigné s'est établi ladite Claudine TUDEROZ Vollat ? future épouse laquelle de gré pour elle et le Sieur de l'authorité âǬ de ladit Claudaz BOURDEL âǬde l'authorité légitime aminâǬâǬ s'est constitué tout âǬ des biens, droits âǬ actions meubles immeubles âǬ et tout ce qu'elle peut avoir et prétendre des biens et héritage dud. TUDEROZ son feu père lesqelle le tout consiste ou puisse constituer tant pour elle que pour son futur époux, tou lesquels biens meubles immeubles de ladite et défunt par âǬ de la somme de neuf cents livres pour âǬ et deux cents livres pour les droits de lad. BOURDEL sa mère pour raison de quoy ledit futur époux pourra vendre engagemement.
 
Famille: Bertrand MOYROUD / Claudine THUDEROZ (F127)
 

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